Je travaillais un billet plus long sur le sujet[1] quand la sonnerie du téléphone et la conversation qui s’ensuivit marqua une pause dans sa rédaction.
La marelle
Contacté par un cabinet de recrutement, depuis quelques semaines je passais les étapes du processus de recrutement d’une grande entreprise. Long entretien en visio pour vérifier la pertinence de mon profil avec la consultante externe, entretien millimétré avec la personne chargée du recrutement et, enfin, entretien in situ avec le directeur dont dépend le poste.
Certain·e·s d’entre-vous savent peut-être ce que signifient ces itérations « anticipation, échange, attente » pour moi en termes de fatique et rumination mais, disont simplement que ce n’est pas de l’ordre du long fleuve tranquille. Ceci dit, le processus avançant, je me laissai aller à quelques pensées positives, les échanges se déroulant, de mon point de vue, pour le mieux…
…qui se révèla de nouveau l’ennemi du bien. J’ai cette fois-ci eu un retour oral en complément du courriel de refus. Ma compréhension du poste et de ses enjeux, mon parcours, mon profil bicéphale imformatique et communication, tout était alligné. Tout sauf, apparemment, la perception de ma (non) capacité à m’imposer ressentie par mon dernier interlocuteur. Il a craint que je manque d’assurance lors des interactions avec les parties prenantes.
J’ai du louper un truc évident pour d’autres…
Rédigé à Toulouges en février 2025.