Ainsi ai-je débuté, pour la seconde fois[1], un protocole pour définir une dose de Méthylphénidate nécessaire et suffisante pour mon quotidien. Aussi commencé-je une sorte de carnet publique dont la tenue en elle-même sera un bon indicateur de succès. Je vous passe les tours et détours ayant aboutis à l’obtention d’un rendez-vous auprès d’un spécialiste à même de rédiger une prescription mais voilà, j’y suis, avec pas mal d’attentes et un peu d’impatience — ce qui est après tout lié. Cependant, ayant attendu 42 ans pour me poser la question, 44 ans pour un diagnostique et presque un an pour une prescription je dois pouvoir prendre le temps de bien faire, progressivement.
Un premier constat à vingt-quatre heures, mes phases d’écriture en début de journée sont plus longues et mes plongées en apnée toujours plus loin dans les onglets ouverts de mes navigateur web moins fréquentes.
À suivre…