J’avoue, le sous-titre n’est là que pour le sourire qu’il provoque — au moins à ma personne — mais je ne doute pas qu’il puisse servir d’introduction à un article sur les légumes anciens et l’autonomie alimentaire en période de crise monétaire, hydrique et énergétique (je veux bien céder les droits à tout ou toute secrétaire de rédaction contre quelques bouteilles d’Orval).
Semaine
Ce résumé sera compact, à l’image de la compression temporelle qu’elle aura représenté pour moi. Il y a eu beaucoup de coups de fil à la fac pour réussir à obtenir les informations que j’espère suffisantes pour l’inscription d’É à la première année de capacité en droit. Rendez-vous est pris pour lundi (demain quoi).
Toujours sur un volet administratif j’ai fait mes déclarations d’actualisation auprès de Pôle-emploi et du service paye de l’hôpital. J’ai ma seconde facture à « éditer » pour Coko également.
Fin de semaine
Avec M. en plus de notre café matinal nous avons fréquenté la salle de sport délaissée pendant les chaleurs estivales. Le tapis de course est plus clément pour mes chevilles en mousse que les divers terrains sur lesquels je les ai martyrisées ces dix dernières années. Cependant le décor austère et industriel de ce lieu d’entraînement est difficile à supporter pour mon esprit, il me ramène au temps qui passe trop lentement. Peut-être devrais-je essayer d’écouter quelques podcasts pendant ces séances.
Choses et autres
Comme souvent le podcaaast d’Anthony et d’Arnaud me donne envie de réagir, envie matérialisée dans une volée de nouveaux billets entamés dont peu connaîtront sans doute une publication.
Il faudrait que je refasse mon site pro en mentionnant le web to print selon Julien. Il a sans doute raison. Je lui doit la fin d’un billet aussi !
Puisque j’aborde le numérique professionnel, j’ai également ouvert un repo GitHub pour rassembler mes scripts créés pour le centre hospitalier de Perpignan. Le serveur GitLab local ayant été fermé j’essaye de sauver quelques meubles — ils ne me méritaient vraiment pas.
Questionnements
Deux éléments de réflexion rentrent en collision :
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la question du design d’un outil qui doit répondre, en 2022 plus que jamais, aux dix principes[1] énoncés par Dieter Rams
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le principe de l’Open source qui là aussi devrait être désormais la règle et non l’exception
Comme beaucoup j’utilise Visual Studio Code de Microsoft pour tout ce qui touche à la rédaction de code informatique mais, si j’y ai trouvé un outil aidant, limitant la friction entre mes idées et leur réalisation, un outil pouvant s’adapter à mes besoins, ce n’est par pour autant un outil honnête, particulièrement par son utilisation de l’Open source comme leurre[2].
De l’autre côté, je suis (plus que) tenté pour basculer du côté Neovim as IDE de la force qui, hélas, demande plus de s’adapter à lui que le contraire et si j’admets bien volontiers que la simplicité d’un script en ligne de commande est parfois l’outil le plus simple, le plus adapté voir est même en adéquation avec les dix principes de Rams (l’élégance d’une commande bien faite répond à des notions d’esthétisme il me semble), pour le moment, on est bien loin de cela. L’assemblage nécessaire pour obtenir environnement de développement riche et accessible est fort précaire et demande de nombreux ajustements qui sont autant de frictions et d’obstacle à l’utilisation de l’outil.
Que faire alors ? Je n’ai pas la réponse, je me serais bien retourné vers BBEdit mais la bascule vers l’abonnent me refroidit pour le moins… peut-être devrais-je dépoussiérer ma licence de TextMate ‽