Demain matin, mercredi premier décembre, je signerai à neuf heures la convention de rupture du contrat à durée indéterminé qui me lie au centre hospitalier de Perpignan. Le pourquoi est à la fois simple et compliqué.
Simple car pour mes filles, notre équilibre famillial et ma santé — au moins celle mentale — c’est une décision logique. Compliqué parceque le contexte dans lequel ce choix a été fait est un faisceau d’envies, d’errances, d’investissements et de frustrations tressé sur près de cinq annèes.
Compliqué par ce qu’il y aura bien évidemment un après dont je dois encore peaufiner les contours mais ce seront ceux de l’indépendance professionnelle (et du décallage temporel vraissemblablement).
Il y aura en tous cas de la créativité, du numérique et de la santé.
À suivre donc.
Rédigé à Toulouges en novembre 2021.