Assis face à un ordinateur, le clavier sous les doigts, j’essaye de dérouler des mots sur la houle de mes pensées. Je pense à Cécile la généreuse, Jean-Chistophe le prolixe et Anthony le docte. Je pense à tout ce que je souhaiterais partager, à tout ce que je voudrais analyser et retranscrire, à tout ce dont je voudrais témoigner.
Mais ça coince, ça grince, ça n’en finit pas de s’accrocher aux paroies. J’ai un problème de disponibilité temporelle et de viscosité mentale. Le premier point va trouver une amorce de résolution sous peu ; le second en revanche…
Quoi qu’il en soit, je vais me replonger dans les lettres quotidiennes de Cécile Duquenne, réécouter les podcasts d’Anthony Nelzin-Santos et rattrapper mon retard sur les billets de Jean-Christophe Courte… et terminer um billet pour demain (comme quoi…).