En vacances depuis mardi soir pour apporter un peu d’air à la maison et accessoirement éviter de m’écrouler comme c’est le cas un week-end sur trois, je redécouvre le plaisir d’être disponible pour ma famille et pour moi.
Je reprends des carnets, des projets au long cours — comme en témoigne ce site qui revit — et je dilue mes pensées dans ces nombreux mediums. Je les rends ainsi plus plastiques, malléables, en un mot, utilisables.
Je me rends compte alors à quel point mon esprit est saturé en temps normal. Enfin non, pas normal, habituel me paraît plus précis comme adjectif.
Rédigé à Toulouges en novembre 2020.