une travée des Souvenirs de nulle-part
Quelques jours avant les fêtes de fin d’année et un mois après l’entretien à la Maison de la catalanité (voir le billet précédent), j’ai reçu le message institutionnel annonçant le rejet de ma candidature malgré, je cite, de nombreuses qualités professionnelles.
[…]Une petite note vite-fait pour marquer le déménagement de la page colophon et l’arrivée de la page barre oblique, point de ralliement de mes pages de métadonnées.
[…]Le Méthylphénidate (MPH) — soyons précis, la mise à distance ou le ralentissement du flux de pensées autorisée par le MPH) — me permet de mieux comprendre le fonctionnement des mécanismes, qu’ils soient matériels ou abstraits.
[…]La Neo2 est ressortie de mon tiroir de table de chevet tandis que je me relevais de la lecture de All You Need is Kill dans son adaptation en manga (deux volumes). Cela faisait longtemps, sur mon échelle personnelle, que je n’avais pas réussi à lire une oeuvre de fiction. J’ai lu, Nunc es scribendum.
[…]De l’ordre des choses et de la couleur du temps (ou l’inverse).
[…]Quarante-cinq serait donc le chiffre magique pour le 27 février de cette année. D’ailleurs ce nombre serait porte-bonheur pour les chèvres de terre — tout le monde ne peut pas être dragon de métal — de 1979. Qui vivra verra.
[…]Il m’a semblé pertinent de documenter les évolutions de ce site, au moins pour moi, indépendamment du journal des modifications de git. Que cela prenne la forme de billets est dans la logique de cet espace tel que je le conçois.
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